A l'examen de l'arrêt (voir page 40) commenté ci-après, il apparaît que l'Office des Etrangers doit véritablement opérer sa propre révolution copernicienne. En effet, pour rechercher et trouver la solution durable, l'Office des Etrangers doit être guidé par l'intérêt supérieur du mineur étranger. Cet intérêt supérieur doit en réalité devenir le centre de gravité de l'Office des Etrangers.