Au Québec, il y a un peu plus de 25 ans que nous avons commencé à parler de simplicité volontaire. C'est mon livre "La simplicité volontaire" qui a porté l'idée sur la place publique ; dans cet ouvrage que je publiais dans une collection consacrée à la santé, j'essayais de comprendre pourquoi, malgré tous les progrès dans la thérapie, les gens étaient de plus en plus malades. J'en arrivais à la conclusion que c'est notre société qui est malade, ce sont nos façons de vivre qu'il faudrait changer, et avant tout, nos valeurs.