Valérie Masson-Delmotte, chercheuse en science du climat à l'université Paris-Saclay, copréside le groupe de travail sur les bases physiques du changement climatique du Giec qui a remis cet été son rapport d'évaluation. S'il est encore possible de rester sous la barre des 2°C de réchauffement global, cela implique des politiques vigoureuses qui n'existent - lorsqu'elles existent - qu'à l'état de plans ou d'annonces.