L'expérience politique est toujours singulière, unique, fragmentée. La race aussi fait exploser le commun. A partir d'une réflexion sur le travail de l'auteur caribéen C.L.R. James, Matthieu Renault dessine les contours d'une contre-généalogie de la race où la traduction des expériences singulières devient le fondement d'une politique de l'universel.