Ce dicton est vrai pour tous ceux et celles qui, de par le monde, tirent leurs revenus de la récupération et du tri (voire du recyclage) des déchets et en font vivre leur famille. Il est particulièrement vrai pour tous les ramasseurs des grandes villes brésiliennes qui, dans leur lutte pour la survie, positionnent le Brésil recordman des recycleurs de canettes et de carton, avec environ trois quarts de ses produits nationaux recyclés.