Atteinte au respect de la vie privée, entrave à l'égalité entre les femmes et les hommes, déficit de sécurité juridique... On ne compte plus les chefs d'accusation portés contre le statut de cohabitant.e.
Conçu en pleine crise, au début des années 1980, il visait à réduire les dépenses de l'Etat en matière de sécurité sociale. Mais qu'en est-il en 2023 ? De plus en plus d'associations dénoncent les inégalités engendrées par ce statut.