En France, le procès de Dominique Pélicot, qui a drogué sa conjointe pendant dix ans pour pouvoir la violer, la faire violer par d'autres hommes et filmer ces viols, nous montre une violence conjugale peine imaginable. En 2021, la soumission chimique a été dénoncée en Belgique avec le hashtag #balance-tonbar, qui a révélé le fait que des serveurs de br droguaient des files pour en abuser. Les femme victimes de ce procédé connaissent souvent leur agresseur. Pensons notamment à cette députée française, qui a échappé de peu aux manoeuvres d'un collègue en politique en qui elle avait confiance. La soumission chimique constitue-telle une nouvelle orme de violence, ou assiste-t-on au dévoilement salutaire d'une pratique d'abus sexuel?