En quoi le vieillissement des personnes handicapées mentales est-il différent? Vaut-il mieux favoriser pour elles un hébergement spécifique dans des structures plus ou moins adaptées ou un hébergement intégré dans des structures générales de type maisons de repos? Enfin, quelle que soit la formule retenue, le personnel est-il formé, préparé pour un tel accompagnement qui engendre d'inévitables deuils?