L'insécurité urbaine dans les quartiers populaires semble, si l'on en croit les discours en vogue, s'être généralisée. En y regardant de plus près, on observe qu'il s'agit essentiellement d'un effet politico-médiatique ayant comme conséquence la disqualification de certaines parties de ville alors appelées ghettos. Surfant sur ldes sentiments d'insécurité et de vulnérabilité bien ancrés dans la population, ces propos contribuent à renforcer les antagonismes sociaux. IEB tente d'objectiver ce sentiment pour le ramener vers d'autres rivages.