Après des mois de grèves étudiantes et de tension avec le gouvernement canadien, le printemps érable semble bien fini. L'accalmie estivale et les élections anticipées ont eu raison du conflit. Les associations étudiantes leaders du mouvement, la coalition large de l'association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE), la fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et les fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) ont pourtant des vues bien différentes sur l'avenir de la lutte.