Après les missions parlementaires en France et en Belgique, c'est aujourd'hui le rapport de la FIDH qui permet de clarifier un peu plus les évènements qui ont conduit au génocide rwandais. L'idéologisation des rapports sociaux, la préméditation des crimes et leur caractère systématique montrent leur dimension politique et nous entraînent bien loin de la fable des querelles immémoriales de tribus.