Après la conclusion d'un accord entre Parlements rivaux, la mise en place d'un gouvernement d'union nationale ouvre la voie à une action militaire occidentale en Libye. Dirigée contre les forces de l'Organisation de l'Etat islamique, une nouvelle ingérence de forces étrangères risquerait d'aggraver les violences entre factions et de faire échouer le fragile dialogue interlibyen.