En Flandre, il n'y a pas que la droite nationaliste qui s'exprime dans le débat institutionnel. D'ailleurs, le nationalisme n'y est pas le monopole de la droite.
En témoigne la composition du Gravensteengroep, constitué en 2008 autour du professeur Etienne Vermeersch, une des consciences de la gauche flamande, avec des personnalités allant de syndicalistes FGTB et d'anciens communistes à des proches de la N-VA.
Lancé immédiatement après en réaction, le Vooruitgroep s'affirme pour sa part clairement de gauche et s'est retrouvé en phase avec les récentes initiatives anti-nationalistes sou sle mot d'ordre "Niet in onze naam" ("Pas en notre nom"