Occuper Wall Street, un mouvement tombé amoureux de lui-même

Article | Frank Thomas

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Note
  • Tout oppose le Tea Party, soucieux de baisser le niveau de la fiscalité, et le mouvement Occuper Wall Street, révolté par le creusement des inégalités. Mais, alors que le premier continue à peser dans la société et sur les institutions, le second a (provisoirement ?) levé le camp sans avoir obtenu grand-chose. L’auteur de « Pourquoi les pauvres votent à droite » tire de ce dénouement quelques leçons cruelles de stratégie politique. Elles résonnent au-delà du cas américain.
Description physique
p. 4-5
Date de publication
2013
Publié dans
Monde diplomatique (Le), 706, 01/01/2013

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