En partie imputables à la baisse de leurs recettes publicitaires, les difficultés économiques d'un grand nombre de médias les conduisent à tout faire pour séduire les annonceurs. Les responsables de la "nouvelle formule" de "libération", par exemple, ont admis que cet objetctif figurait dans leur projet. Mais les publicitaires veulent davantage que des pages de journaux et du temps d'antenne : ils aspirent à entrer dans les cerveaux de leurs cibles. Et pensent que la science le leur permet